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 Chronique des oubliées, Section des gardiens.

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MessageSujet: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyVen 24 Juil - 21:51

Chapitre 1 :

C’était une belle après-midi de printemps, un jour où la bonne humeur est au rendez vous et où l’insouciance est de mise. Elias était alors un tout jeune gardien, il venait de rentrer dans cette académie depuis à peine 6 mois quand ce jour fatidique et cruel arriva. Il en garde encore un très mauvais souvenir et à chaque fois qu’il se le remémore, un frisson glacé parcoure sa colonne vertébrale.

Elias venait tout juste de terminer son tour de garde de midi dans la section de recherche avec Alice. Ils n’avaient pas croisé Muraki et tout s’était passé superbement, sans grabuge et sans dispute. Heureusement d’ailleurs parce que la première fois où ils s’étaient marcher sur les pieds dans cette section, ils ont failli y laisser leur peau, et pas qu’un peu, à cause de dégradation de matériel.
Enfin, bref, comme je vous le disais c’était une belle après midi. Sauf que voilà, toutes les bonnes choses malheureusement ont une fin. Cette fin arriva au moment où Elias rentra au secrétariat.

Sarah l’avait demandé pour qu’il les aide à ranger les papiers. Il avait naturellement refusé mais avant qu’il est pu partir de l’administration, ces folles avaient refermé les portes et les avaient barricadées de surcroît afin qu’il ne puisse pas leur échapper. Les secrétaires étaient autour de lui, elles l’encerclaient. Lui était au centre, préparé au combat, les poings en avant alors que ces maniaques avançaient petit à petit réduisant le cercle.

Sarah s’avança alors vers lui avec la carrure d’un commandant des forces armées :

-Abandonne ! Tu ne peux rien contre nous ! Nous, qui L’avons traqué et pourchassé au-delà de la mer et du ciel ! Abandonne et joint toi à nous !

Elias la regarda dans les yeux et lui murmura avec force et conviction :

-Jamais ! Je préfère mieux mourir !
-J’admire ton courage mais ne sois pas stupide ! Aide nous dans notre tâche et tu seras grâcement récompensé ! Je te laisse trois secondes pour réfléchir.

Alors que le commandent attendait la réponse, Elias la fixa de ses yeux noirs. Tout avait été dit : si jamais il acceptait sa proposition, jamais plus il ne pourrait revoir le ciel de la liberté. Il serait condamné et ce pour l’éternité à placé, déplacé ces maudits papiers et à le traquer nuit et jour. Non, pas encore ! Avec les gardiens il avait encore une petite chance, certes infimes mais une chance qu’en même ! [Ntd : Il était encore novice !]
Le temps était écoulé.

-Tu as choisi ton destin. Bien…

Sarah se tourna alors vers ses troupes.

-Pas de quartiers, pas de pitié… Attrapez-le !

Une feuille tomba.
Tout fut alors très rapide. Elias, combattant du mieux qu’il pouvait contre Sarah et ses légions rendues aguerries par la Traque du Démon. Mais le gagnant était déjà désigné. Alors qu’elles allaient le ligoter sauvagement, Elias cria sa détresse et son courage :

- Vous ne m’aurez pas vivant !

Et joignant le geste à la parole, avec un effort soutenu par le désespoir, Elias créa le plus grand éfeuillement, le plus ravageant qui soit depuis la création du secrétariat. Toutes les secrétaires en furent touchées, ensevelit jusqu’au coup par le grand raz de marée qu’il venait de provoquer. Elias les voyait lutter contre le courant mais elles ne pouvaient rien faire. Il leva alors les yeux vers le plafond, sentant sa mort arriver à grand pas. Son regard s’échoua sur Sarah. Elle avait réussi à s’accrocher à une autre pile de papiers et elle le regardait, ses yeux remplis d’envie de meurtre et de tuerie.

-Tu ne m’échapperas pas !

Elias perdu conscience alors qu’elle lui répétait inlassablement ces mots. Sa dernière pensée fut qu’au moins il mourrait avant qu’elle l’ait attrapé.

Vous devez penser que son malheur en était resté là, qu’il avait réussi à survire, qu’il s’était échoué sur un sol non remplie de pages et bien vous avez tort. Elias ne mourut pas ce jour là et il reprit connaissance le lendemain, entouré par des mégères très très très très très très en colère qui ne manqueraient pas de le mordre si il venait à bouger. Elias était assis sur une chaise, attaché solidement par des chaînes pour vampires et pour loup garous. Le cerveau embrumé par tous ces événements, il ne remarquât pas tout de vite de la gravité de sa situation.
Je vais vous décrire la scène à ce moment là : vous voyez à peu près du moins comment se passe un tribunal et où se trouvent les personnages et ben là s’était la même chose. Sarah était assise en haut de la plus grande pile de feuilles et était entourée par ses conseillères, qui le regardaient fixement. Vous l’aurez devinez je pense : Elias allait être maintenant jugé pour ses fautes commises.

-Elias, la cour de justice de la grande Sécrépier te juge coupable d’avoir fait effondrer les Hautes Montagnes Vierges [Ndt : Non signé] et d’avoir entraîné le plus grand éfeuillement de toute l’histoire de notre organisation ! Par conséquent je te condamne aux travaux généraux ! Ta tâche première sera …
- C’est quoi cette justice ! Je n’ai même pas eu d’avocat ! Et je te signale, Sarah, (la situation était beaucoup trop extrême alors tant pis pour la politesse) que je n’ai fait cela que pour garantir ma survie et que …
-Silence ! Silence, crapule ! Pour m’avoir interrompu je te condamne à nettoyer les archives et à les ranger par date et par époque !

Un long silence abasourdi s’abattit dans la salle, tandis que Sarh me regardait d’un air triomphant. Elle avait gagné… non pas encore il ne pouvait pas abandonner maintenant !

-Les archives … mais tu n’y penses même pas ! Tu veux que je souffre, alors que je ne suis qu’un pauvre garçon sans défense ? * regard de chien battu à l’assistance* Vous ne pouvez pas me faire ça, n’est ce pas ? C’est une condamnation arbitraire !
Tous alors détournèrent les yeux par pitié.

-La parole de Sarah est incontestable !

Elias plongea alors dans un gouffre sans fin : Oui, elle avait gagné, elle rattrapait Eden dans sa fourberie et Dino, dans sa sournoiserie ! Il était perdu.

Les jours suivants furent l’Enfer dans toute sa splendeur, il aida à réparer ses crimes puis le jour fatidique arriva, celui où il devra accomplir Une tâche dont personne n’en ait venu à bout : celle de RANGER la salle des archives et de tout répertorier selon les époques et les années !
Je vais encore vous décrire la scène :

Elias, un balai dans une main, l’autre étant prise par un seau d’eau énorme, était vêtu d’un très grand tablier de femme de ménage, d’une charlotte pour ses cheveux, des bottes pour campagnard vertes, un masque pour pas que la poussière accumulée puisse l’étouffer et le détourner de sa tâche et enfin une paire de gants roses en caoutchouc recouvrait ses mains. Derrière lui, un charriot en métal soutenait des centaines de produits ménagés : du détergeant, d’autres balais (au cas où le sien venait à être grignoté ou cassé), des milliers de chiffon, des tonneaux de javels, du vinaigre blanc et des centaines de citrons (Quoi ? Vous avez cru qu’il ne s’y était pas préparer pour ce qu’il l’attendait, bien sûr que si ! Il s’était renseigné et avait même regardé « C’est du propre » avant de se lancer dans une telle entreprise que de nettoyer la salle des archives). Il était maintenant prêt, sur le pied de guerre !

Il s’avança alors doucement et discrètement de la porte aux archives. Puis pris la poignée dans sa main moite. Elias respira lentement afin de se calmer puis avec un courage hors du commun il tourna sa poignée.
1, 2, …. 3
Il ouvrit la porte et là croyez le ou non, il eut un tremblement de terre dans l’académie et un cri effroyable et ultime ressemblant à celui d’un guerrier mort au combat. Elias était tombé ! Sous une pile de papiers, Elias fut enterré, laissant tomber son arme au sol.

Ce jour fut la fin d’Elias, tel qu’on l’avait connu.
Plus jamais il ne remit les pieds dans le secrétariat. Sauf accompagné !
FIN

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Kylian
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyDim 26 Juil - 12:05

Mouahahahaaa XD

Pas mal, pas mal XD
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyDim 26 Juil - 14:16

Ca te plaît ?
Ca me fait plaisir ^^
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyDim 26 Juil - 21:28

:snif: Pauvre Elias!
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyLun 27 Juil - 17:12

j'avais envie de le faire souffrir un peu ^^
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyLun 27 Juil - 18:20

Ben tiens!
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyMer 5 Aoû - 20:52

L'air ambiant est en train de me contaminer ^^
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Kylian
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyVen 16 Avr - 11:17

Chapitre 2 en 1 – Section des gardiens

[2h du matin, heure déclarée comme critique pour des cerveaux en berne. Il y a minuit l’heure des sorcières, et deux heures, l’heure des délires…*__*]
Encore une journée comme une autre… Toujours une journée comme une autre. C’est toujours lors de ces journées que le pire arrive, ou bien le meilleur, cela dépend du point de vue sans doute. Les gardiens comptaient parmi leur rang très restreint une nouvelle recrue toute fraîche, toute neuve, complètement tarée puisqu’elle avait DE SON PLEIN GRE voulu entrer dans cette association de malfaiteurs…Même Alice, avec une phrase n’avait pas su l’empêcher de faire ce terrible choix qui fut le sien ce jour LA ! Alors elle tenta de l’aider, de la ramener sur le droit chemin, le chemin de ceux qui aiment la vie, et de ceux qui VEULENT vivre.

-Riza… Tu es sûre de ce que tu fais ?
-Oui oui ! Fit-elle avec un sourire qui l’entourait de fleurs et de bonne humeur.
-… Bon… D’accord !! Tu t’occupe de la section de recherche !

Non, aucune pitié, il faut bien faire le bizutage aux petits nouveaux. Mais quel bizutage b***** de nouilles ! LA section de recherche…le lieu où l’on entend encore le râle de ceux et celles qui n’ont pas su en ressortir… quand ce n’est pas le râle de Dino, qui depuis un moment, brille par son absence… (Ndlc 1 : et personne n’a pensé monter une équipe de sauvetage… Bande d’enfoirés.) C’est ainsi qu’avec une simple consultation du regard entre Alice et Elias, unis dans la douleur comme dans le sadisme, ils décidèrent d’envoyer Riza, la pauvre petite blonde à l’apparence aussi fragile qu’une pauvre petite enfant, dans cet endroit maudit et haï de tous (même d’Eden !!!). (Surtout d’Eden).
La petite Riza, toujours enjouée et heureuse d’être entrée dans l’ordre des gardiens, (c’est un ordre maintenant ? Oô)(Ben oui…y’as les chevalier de la table ronde, celle d’Emeraude…et celle des gardien du bureau de Dimitri, fondé dans des années lointaines, par un fou en pleine crise d’Hystérie…) sorti du bureau de Dino et se dirigea d’un pas enjoué, sans arme (ELLE n’est pas armée, mais mon dieu…elle est folle !) dans le couloir de la Mort blanche et silencieuse, dans ce couloir où, la nuit l’on peut voir se mouvoir dans l’Ombre l’Âme des dernières victimes des chercheurs de l’école…ou tout simplement des élèves qui voulaient finir tranquillement leur repas sélectionné avec un choix arbitraire dans l’enceinte de l’école. Breeeef ! Nôtre petite Riza, qui ne savait pas encore à quoi s’attendre –ou peut-être que si, on le saura jamais- se dirigeait d’un pas gai vers la section de recherche.
Elle se demandait pourquoi les yeux d’Elias et d’Alice avaient ainsi brillés lorsqu’ils avaient décidés à l’unanimité sans possible refus, de l’envoyer là-bas. Puis il lui avait dit au revoir, la larme à l’œil, il ne manquait que le mouchoir. Pourquoi donc ? On se le demande tous…Riza ne tarderait pas à le savoir…dans quelques minutes nous allions savoir si ses craintes craintives étaient fondées ou bien si…non…je ne peux pas…je n’ose le dire…
Ainsi, voilà Riza qui se promenait allègrement… Enfin, non. Qui patrouillait dans la joie et la bonne humeur quand…

-Petite fille, que fais tu là ?
-J’apporte du beurre et de…. Ah non, trompée de script. Je fais ma première patrouiiiiiiiiiiille ! <3
-Tu m’en diras tant… Viens, je vais t’apprendre les dessous du métier de gardien…

Silence total, noir absolu… Le couloir est désert (notre caméraman n’a pas osé entrer dans le laboratoire, crainte pour sa vie qu’il disait, le fourbe, le lâche pusillanime). Silence sépulcral… Lorsque SOUDAIN…

-PUTAIN C’EST QUOI C’TE FILLE QUI SE CHANGE EN EPINGLE ?!

Pour comprendre ce qu’il s’était passé, il faut revenir quelques minutes plus tôt, après que Muraki ait fait entrer la jeune et innocente Riza dans son laboratoire, n’ait découpé ses vêtements avec un ciseau à bout rond (ben quoi, c’est pour les enfants, non ?). Alors qu’il s’apprêtait à lui apprendre par les moyens pratiques à Riza l’envers du décor….

RIZA EVOLUE !!

Pour stopper l’évolution, appuyer sur le bouton B

TROP TARD !!

-Dommage, Haaaaaaaaaaan, s’éleva du placard tout noir où Dimitri, qui parlait dans son sommeil, dormait, la tête callée sur une caisse de godemichets à pointe et enveloppé dans une couverture de fouets à épingles.

*ting* Riza évolue en EPINGLMOASSA

Riza s’en alla en sautillant après avoir lancé l’attaque épingle indiscrète , toute guillerette, épinglante continuer son tour de garde dans la section de recherche. Puis elle retourna dans le bureau où elle retrouva Alice et Elias qui jouaient une partie de carte, en étant à font dedans. Pour vous aider à comprendre nous pouvons vous dire que cela fais à peu près deux mois qu’Elias tente en vain de gagner le viol d’Alice pour Gabriel dans un ridicule combat de carte.
C’est ainsi que, alerté par le bruit de la porte qui se referme, Elias ne put pas taper devant le beau sandwich qui s’étalait devant ses yeux, et il n’eut plus aucune cartes à étaler sur la table, et ce fut donc une énième défaite à rajouter à son palmarès déjà bien fleurit.

-Riza ?

Alice releva la tête tout en rangeant les cartes, avant de froncer les sourcils.

-Tu es vivante ? dit-elle, une surprise évidente dans la voix.

Riza fut donc confortée dans son idée que ces deux là venaient de l’envoyer à une mort certaine sans même une once de regrets !

-J’ai rencontré le Sieur Muraki…
-Et tu as vaincu…Riza…quel est ton secret ?
-J’ai évolué pardi !
-Gnééééééééééé ? firent Alice et Elias, en chœur, oubliant toute la dignité qui leurs était accordée par leurs créatrices sadiques.

Un petit silence, et un ballot de paille volant plus tard, Alice retrouva sa voix :

-Tu as « évolué » ? C'est-à-dire…
-Et bien c’est simple ! Il a voulu m’apprendre les dessous du métier de gardien, et il m’a entrainé avec lui. Puis une fois qu’il m’eut dévêtue à l’aide d’un ciseau MAPED [Malin comme MAPED ! MAPED !]
-Jusque là, ce n’est pas bien différent de d’habitude !
-Alice…ça veut dire que…
-Oui Elias, moi aussi… fit-elle avec un air théâtral… mais ce n’est pas le sujet du jour, donc Riza, continue !
-Je disais donc, une fois nue, il a voulut posée ses pattes blanches sur mon corps, mais…c’est à ce moment là que j’ai acquis le dernier petit point d’EXP qui manquait à ma barre d’expérience bleutée, pour enfin pouvoir atteindre le niveau suivant et donc évoluer en EPINGLMOASSA…et ainsi le déstabiliser complètement et c’est là qu’il c’est mit à crier…
-EPINGLMOASSA ?!
-Mais non il a crié…
-Mais c’est quoi cette histoire ? Attends tu…tu as osé…
-Oui je me suis transformée en épingle et je l’ai indiscrètement épinglé…
-Oh Satan ! Il faut que j’aille voir Eden ! fit Alice en quittant le bureau, courant presque dans le couloir.

Elle entra en trombe dans le bureau d’Eden, presque essoufflée de sa course. Eden, perché sur une pile de papier naissante, la regarda avec un air endormi, qui lui faisait vaguement pensé à Dino. Ils ne sont pas cousins pour rien ces deux là.

-Plait-il ?
-Monsieur…j’ai trouvé !
-Trouvé quoi ? dit il en plongeant sa cuillère dans sa part de parfait à la fraise qu’Andy avait laissé derrière lui en partant cinq petites minutes plus tôt.
-Comment terrassé Muraki…dit-elle à mi voix, comme si les murs avaient des oreilles.
-Plaît-il ?

Et bien oui, Eden sortait du lit après une nuit particulièrement forte en sensations avec Kylian, comme beaucoup de nuits avec Kylian, comme toutes ses nuits avec Kylian en fait maintenant qu’on m’en parle, et donc du coup, il dormait pour ainsi dire assis.

-Oui… Une épingle !






-Une épingle ? ... Je vois. Sors.
-Mais…
-SORS !

Alice, ne comprenant pas ce qu’elle avait fait pour mériter de se faire jeter de la sorte sortit ainsi. A peine eut-elle fait quelques pas qu’un éclat de rire monumental retentit, suivit du bruit mat de la chute d’un corps sur un bureau qui n’était même pas le sien parce qu’Eden ne s’approchait pas du secrétariat à moins d’être désespéré.
Kylian ayant l’étrange impression que son mari s’étouffait par hilarité incontrôlée entra dans le dit bureau, qui se trouvait être le sien, et qui par conséquent jouxtait l’infirmerie.

-Eden ? Qu’est ce qu’il y a ?

Entre deux éclats de rires, Eden parvint à lui expliquer le pourquoi du comment de la chose.

-Ah, ca, mais je le savais.
-POURQUOI TU L’AS PAS DIT ALORS ?!
-Ben, je l’ai écrit dans le dossier que je t’avais donné…
-…
-Tu l’as pas lu, hein… Pourquoi tu ne l’as pas lu ?
-… Mais… Je voulais entendre ta voix si seksssssssssssy (ce mot est pour toi Kura) le dire… fit il en lui lançant un regard de chat potté.
-Muraki… craint… les aiguilles… Dit alors Kylian en usant de sa voix la plus sensuelle.

Et Eden sauta alors sur Kylian, le déshabilla et entreprit alors de faire toutes les choses licencieuses qui étaient venues à l’esprit d’Eden au moment où sa voix était venue caresser ses chastes oreilles.

Voilà pour la première partie de notre 2 EN 1, penchons nous maintenant sur le cas de notre indiscrètement piqué et académiquement redouté. Celui-ci, après avoir jeté l’indiscrètement piqueuse hors de son antre, avait ouvert le placard où Dimitri dormait, ligoté ça va de soit en criant :

-DIMITRI JE SUIS FRUSTRE !!
-C’est dommage… haaaaaaan….

Oui, il parlait dans son sommeil. D’un côté, ça faisait quatre jours que le fou le besognait sans même prendre la peine de se reposer, alors merde, il dormait, point barre !
Et ce qui devait arriver arriva en ce jour fatidique d’aujourd’hui, Muraki entreprit de faire passer sa frustration avec ses méthodes d’investigations profondes à lui, et, sentant qu’il étai PEUT ÊTRE temps de dormir un peu, il embarqua le Dimitri qui avait déjà entreprit de s’endormir sur son épaule comme un sac à patates et alla dans son lit tranquillement.

-Miaaaaaaaaahw….
-… Mon petit loup, peux tu m’expliquer ce que tu fous ?
- Ferme ta gueule. Fit alors l’endormi avec une conviction qu’il n’avait encore jamais eue.
- ... pardon ? Qu’ouïs-je ?

Dimitri parlait dans son sommeil, et Dimitri semblait être assez irascible quand il dormait… Quand il ne miaulait pas, cela s’entend.

-Va te faire mettre.
-Par toi ? Oh oui !

Ne semblant pas l’avoir entendu du tout, le loup entreprit de lui grimper dessus, de crocheter ses jambes avec l’une des siennes, et d’enfouir son visage dans le creux de son cou. Muraki, se demandant ce qu’il lui arrivait, sans oublier qu’il était brûlant le bougre, essaya de le repousser du mieux qu’il put, mais sans succès car…

-Roââââââââr !

Non non, ce n’était pas un moteur de voiture qui peinait à démarrer, c’était simplement Dimitri qui grognait parce que son doudou/matelas/coussin/bouillote n’avait pas le droit de tenter de se rebeller et respirer, ainsi que tenter de ne pas mourir d’hyperthermie. Contre attaque de Dimitri, réussite critique. (P.S : ces déboires nocturnes sont du vécu, librement inspirées de ce que la créatrice de Dimitri a fait subir à celle de Muraki, et rien n’a été enjolivé)
Quoi qu’il en soit, Dimitri acheva sa nuit, et se réveilla avec un Muraki allongé sur son dos (même en dormant le chercheur n’aimait pas être en bas). Il bougea un bras, histoire de tester la résistance de l’objet mou non identifié sur son épaule, et en conclut que c’était vivant.

-Oh oui, mon petit loup, je vis !

Avait-il pensé à voix haute ? Qui sait. Dimitri, la tête dans le cul comme il ne l’avait jamais eue, même après avoir trop bu, s’être envoyé en l’air avec la mauvaise personne, et… non, en fait non, voilà… Comme jamais, se leva, et Muraki, enfin débarrassé de cette présence, agréable, certes, mais représentant tout de même un corps à 45 degrés SECS (encore une fois c’est véridique) tellement qu’il avait été obligé d’utiliser la télécommande magique pour faire baisser sa propre température, put enfin commencer à somnoler en paix. (*essuie un filet de sueur sur son front* ET LE PRIX DE LA PHRASE MARATHONNIENNE REVIENT AAAAAAAAAA //SBANG//)
Muraki, donc, somnolait tandis que Dimitri faisait tomber du YOP dans son verre goutte après goutte, lorsque soudain, Muraki se rendit compte d’une présence étrangère sur sa poitrine, et pour cause, Dimitri était allongé sur lui et le fixait appuyé sur ses bras avec une lueur mortellement sérieuse dans le regard.

-Ngh…. Que…

Oui, Muraki était complètement shooté. Quatre jours de copulages intensifs avec l’italien, il y a de quoi fatiguer n’importe qui, même LUI.

-… Muraki…. Il y a des bulles dans mon yop.
-Dimitri…est-ce vraiment important qu’il y ait… il se tut devant la petit larme qui perla au coin de l’œil du Loup.
-Muraki qu’est-ce que je vais faire… Il n’y en a plus assez dans la bouteille pour tuer les bulles qui peuplent mon verre…
-Va voir Sarah, elle pourra peut-être t’aider…
-D’accord !

Soudain très actif le loup attrapa son verre et sorti du labo, sans même pensé à la liberté qu’il venait de retrouver, et se dirigea d’un pas rapide, tenant son verre de Yop comme une expérience dangereuse, veillant à ne pas trop remuer pour ne pas faire de nouvelles bulles indésirables. C’est ainsi qu’il entra dans le secrétariat en poussant sans douceur aucune la porte de son pied. Tout le monde put constater que Dimitri était en caleçon vert à pois orange et portait encore les traces des derniers sévices de Muraki. Et tout le monde, vous comme moi, personne n’a oublié que Dimitri était dans ce lieu une présence plus qu’indésirable puisqu’il portait atteinte à l’intégrité des papiers présents dans cet endroit sacré.

-Sarah…j’ai besoin de TOI !
-Pardon ? En quoi aurais-tu besoin de moi…et dans cette tenue…
-C’est un drame Sarah…
-Quoi Eden est mort ?
-Non, c’est pire…
-Oh mon dieu…tu…Qu’est-ce que Muraki t’as fait ?

Juste ciel, elle avait trouvé ! comment avait-elle su, personne, ni vous ni moi, ne le sauront jamais. Parce que…

-Sarah…Il y a…
-Je t’ecoute, parle…on peut peut-être t’aider…
-J’espère que tu peux…
[color=orange]-Vide donc ton sac…or=olive]-Il…Il…Il y a DES BULLES DANS MON YOP !

ACTIVE TIME EVENT : Appuyer sur X pour voir ce qui se passe au même moment, ailleurs…

X

Allongé dans son lit, tel un pacha à moitié endormi, ce cher Muraki, se posait LA question :

-Est-ce que j’y ais été trop fort ?

FIN DE L’ACTIVE TIME EVENT– Retour dans le secrétariat.

-Dimitri…tu es sur que ça va ?
-Mais non ça ne va pas ! Pas du tout ! C’est dramatique ! Des bulles dans mon Yop ! Et une bouteille vide…je ne peux pas les chasser avec une bouteille vide…
-Dino…es-tu tombé du lit ?
-Non…je me suis simplement réveillé…

ACTIVE TIME EVENT 2 – La Chambre à MUMURAKI MUMURATWA

-Il est vrai que les hommes ont le cerveau sous la ceinture, surtout les italiens…mais quand même… se disait Muraki, cherchant la cause des problèmes mentaux, de ce cher Dino

FIN DE L’ACTIVE TIME EVENT 2 – Retour au secrétariat

-Dino, je crois bien que tu devrais retourner te coucher fit Matthias, d’un air sérieux, lui tendant son cocktail.
-TOI…

INTERLUDE MUSICAAAAAAAAL – Parce que la rencontre entre Matthias –le génie du mal qui est la source de tout ceci- et Dino –celui a qui subit tout ceci- est trop sanglante pour les moins de 1567 ans.
Une fois que Dino eut réglé son compte au pauvre Matthias, qui parvint, on ignore comment, a ramper sous un tas de papier, et lécher ses plaies pour mieux se reconstruire, malheureusement, il rampa sous le même tas que celui qu’on avait oublié : Butch ! Mais ceci est une autre histoire. Revenons-en a Dimitri. Ce dernier…grâce à l’aide de Sarah parvint, a chasser les bulles flottant encore à la surface de son Yop à la Vanille (Créa de Dino : Les mines de critérium sont nos amies, il faut les aimer aussi) le bu d’une traite et retourna au labo.
Il se glissa dans les draps de Muraki, qui se redressa sur un coudes, pour mieux l’observer avant de le bouffer.

-Dimitri…
-Ta gueule je dors fit le blond avant de sombrer.


THE END…or not…
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptySam 17 Avr - 18:03

J'aime nos délires...Un jour...peut-être qu'on sera à court d'idée...un jour...et un jour mon prince viendra!
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyDim 18 Avr - 16:44

Oui, l'espoir fait vivre. XD
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyDim 4 Juil - 21:21

On en parle, on le devine, on le murmure à demis mots, et bien nous, grandes reporters venus des profondes étendues de la folie, nous venons vous le retracer Cool *hahahahaha* ( rire machiavélique d’ivrogne)

Alors voici pour vous, en beau, en direct, en live, leeeeeeees…..

COULISSES DES esclaves GARDIENS DE ACADÉMIE !!!!

Alice dans l’exercice de ses fonctions.

La jeune fille avançait, faisait sa ronde dans l’aile du sud, avec son déhanché qui faisait toute sa réputation, et qui ne cessait jamais d’attirer les regards, fait totalement volontaire dans la mesure où tant qu’on admire son arrière train et son décolleté, personne ne pense à se concentrer sur la lame qui s’apprête à détacher proprement sa tête de son corps. Son sourire radieux dissimulait à merveille les frasques d’un mois de non-nuits, de combats et de crises de nerfs variées, et elle arrivait encore à marcher avec ses onze centimètres de talons tout en donnant l’irréelle impression de glisser sur le sol. Oui, elle avait fait l’école des miss japon, et alors ?
Et là, le drame ! Et ben non, même pas. Ce qui arrivait toutes les nuits. Une innocente petite bagarre entre élèves. Une jolie petite dizaine.
Le sourire de la jeune femme s’agrandit, et elle s’approcha doucement, sa démarche féline (Créa : CHUIS PAS UN CHAAAAAAT) rythmée par le clac clac de ses talons, et elle se posta à un mètre du pugilat, un grand sourire innocent sur son visage.
Une minute passa.
Puis deux.

Un blessé s’effondra à ses pieds. La jeune fille le fixa, puis fit un pas en avant. Pardon ? Oui, bien sûr qu’il y avait quelqu’un devant, c’était même le but ! Clac-crac-clac-crac…. « Hmmmm…. » Elle leva la jambe et la reposa brutalement. Le crac suivant fut suivit d’un adorable petit « flotch ». Elle venait officiellement d’achever son blessé.
Elle ôta ensuite son talon du cadavre, l’essuya sur la chemise de celui-ci, et consentit enfin à descendre de ce qui lui restait de dos. Tous les autres combattants la fixaient avec un air entre l’effrayé et l’admiratif. C’est alors qu’elle prit la parole.
-Mes petits… Par pure curiosité…. QU EST-CE QUE VOUS FOUTEZ DANS LE COULOIR A UNE HEURE DU MATIN bande de cons dégénérés ?
Nouveau silence mortel. Un élève tenta de sauver ce qui lui restait de virilité.

-Heu… On se… bat ?
Alice sourit encore plus.
-Et ?
-…. Heu……
-Qu’est ce que le règlement stipule formellement concernant le couvre feu ?
-… heu…. Qu’il faut être dans sa chambre à 22 heures ?
-Et ?
- … et que…
-Que ? Le sourire de la jeune fille faisait penser à l’air d’un chat devant une belle souris bien dodue.
- ….. *silence de mort (tu l’as dit, bouffi)*
La jeune fille acheva alors pour ceux qui avaient visiblement oublié les petites lignes en italique en bas du règlement.
-… Et que l’Académie ne prend nullement en charge les hypothétiques dommages que les contrevenants pourraient recevoir de la part des gardiens en exercice de leur fonctions ! Pourriez vous me rappeler quelle heure il est mes petits ?

Tentative désespérée pour survivre.

-Mais…. Tu n’es pas vraiment une gardienne, non ? Hein… copine…

Ses doigts, innocemment posés contre le mur, s’enfoncèrent soudain dedans comme du beurre et descendirent lentement en produisant un crissement purement ignoble, tandis que le sourire de la jeune fille grandissait, prenait des airs Dimitrien. Une voix d’outre tombe s’éleva alors tandis qu’une aura menaçante emplissait tout le couloir.

-Tu veux tester ?

Nouveau silence. Sueur froides. L’aura disparu soudain, laissant place au sourire radieux de la jeune femme.
-Mais je ne suis pas sans cœur. Après tout, vous aviez le bénéfice du doute. Si vous avez une bonne explication à me fournir quant à votre présence ici, tout ira pour le mieux……… Alors ? …….. Non ? Bon, je vois….
Et là, le masque disparut. Nous pouvions alors admirer le visage d’un démon.
-Je vous donne dix secondes pour réintégrer vos chambres, passé ce généreux délai, j’égorge le premier que j’attrape et je me fais des jarretières avec ses tripes !

Cette nuit, un nouveau record fut défoncé. Record de sprint.

Aucun mur ne fut blessé durant cette scène (en effet, ils sont auto-régénérants)

Dimitri dans l’exercice de ses fonctions.
Le cousin d’Eden, oui, Dimitri, il n’en a pas cent de cousins, était en train de faire une ronde. Pourquoi donc une telle folie, pourquoi n’était-il pas en train de cuver son despotisme dans son fauteuil ? Parce qu’il avait décidé d’arrêter la bière, que les premiers effets du sevrage se faisaient sentir, et que, de ce fait, il était d’humeur massacrante. Au sens véritable du terme.
Et le pire, c’était qu’il n’avait plus de clopes. Ainsi, il s’était dit qu’en revenant de la chambre du prof de philo, où il était allé s’approvisionner, il pouvait bien aller s’amuser un peu. C’est vrai quoi, il ne fallait pas laisser Alice et les autres s’amuser trop souvent non plus.

Ainsi, il marchait lentement dans le bâtiment principal, lorsque…. le drame ! Et ben non, même pas. Ce qui arrivait toutes les nuits. Une innocente petite bagarre entre élèves. Une jolie petite dizaine.

Il estima rapidement la situation, s’approcha avec lenteur (mais sans déhanché ni talons aiguilles), et les fixa. Un à un s’arrêtèrent en se rendant compte de sa présence. Déjà, la température semblait avoir pris des proportions glaciaires. Lentement, très lentement, il s’alluma une clope. Et là, à la lueur rougeoyante de sa sucette à cancer, il sourit.
La seconde qui suivit, le couloir était désert.
Cette nuit, un nouveau record fut défoncé. Record de sprint.

Elias dans l’exercice de ses fonctions.
Elias, quant à lui (parce que c’est toujours la même nuit), patrouillait dans l’aile nord.
Et bien, lui, il n’était pas frais. Pas frais du tout. En effet, contrairement à sa chère et tendre et non très très cher et très dur supérieur, il n’arrivait pas à cacher le manque de sommeil, et ce d’autant plus qu’il avait désespérément perdu la bataille de la couette la nuit précédente.

    Flash Back
    Sueur. Soupirs fatigues. Froissement de draps.
    Elias : Raaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
    Le jeune homme tire furieusement sur son bout.
    Alice : WASAGAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAY
    Alice contre-attaque.
    Que se passe t-il de si grave? Rien. Rien de bien méchant. Une innocente dispute au moment de dormir pour obtenir la sainte couette.
    Soudain, Alice se rendant compte qu’elle perd sur le plan physique, change subitement de méthode. En quelques instants, la voilà à califourchon sur son compagnon, et elle le fixe avec un sourire à faire peur. Plus question de séduction lorsqu’il est l’heure de dormir ! Doucement, lentement, elle promène ses doigts agiles sur sa poitrine, les égare dans son cou… Séduction ? Que nenni. Car voilà qu’à présent, elle enfonce brusquement ses ongles et le lacère de la carotide au pubis, et le tout en souriant.
    Sous la douleur fulgurante, le gardien se voit forcé de lâcher la couette. Le temps de se rendre compte de son erreur, la jeune fille s’est déjà enroulée dedans comme une saucisse dans son hot-dog, et déjà, nous entendons les premiers soupirs de celle qui jouit de l’étreinte de morphée.

    -Alice… j’ai froid.
    -Ferme ta gueule.
    -Mais…
    -Va te faire mettre.
    Le tout dit d’une voix à réveiller un mort.
    Elias dormit donc mal, très mal. En grelottant très bien. Et le lendemain, alors qu’il commençait alors à s’endormir, sonna l’heure du réveil, et il ouvrit les yeux sur sa compagne qui léchait sa poitrine ensanglantée pour quêter son complément alimentaire. La jeune fille avait ses règles et manquait de fer.
    Fin du Flash-Back


Ainsi, il était d’une humeur de chien. L’humeur d’un chien martyrisé par une chatte, malheureusement pas en chaleur pour cause petit cadeau mensuel.

Et là… le drame ! Et ben non, même pas. Ce qui arrivait toutes les nuits. Une innocente petite bagarre entre élèves. Une jolie petite dizaine.

Comment réagit Elias ? Voyons voir…
Manque de sommeil + Martyrisage par sa compagne + Humiliations quotidiennes
Hmmmmmm….
Elias explosa la tête du premier contre le mur, piétina les parties du second, utilisa le troisième pour briser le crâne du quatrième. Il se souvenait encore des propos de son chef qui, pour le coup, il commençait à aimer.
    « T’es là pour les calmer. »
    « et si ils se calment pas ? »
    « Si ils opposent de la résistance inutile ? Crève les. »


Soudain !! Le cinquième tenta de se protéger en mettant ses bras devant son visage.
-TU FAIS DE LA RÉSISTANCE ?
-……
- Twisted Evil

Ainsi, nous retrouvâmes Elias qui lattait proprement la gueule du cinquième (l’expression était la seule à suffisamment correspondre), un grand sourire sadique déformant son faciès, et répétant « crève » à chaque coup.

Les gardiens au petit matin

Silence de mort. Une table. Une seule. Sept silhouettes attablées à cette même table. Chaque personne portant un bol devant ses yeux. Que contient le bol ? Un remontant concocté par le supérieur hiérargique. Un savant mélange de scotch, de vodka, de miel, de rhum, mais surtout, surtout, de café.
Les mouches ne volent plus. Elles ont tenté, mais elles sont tombées, mortes sous les regards insecticides qui leur ont été lancés.
Silence de mort. Personne ne parle. Personne. De temps à autre, nous entendons un léger « sluuuuurpr » s’élever de l’un des bols, d’où dépassent seulement les yeux affreusement cernés de celui qui le porte devant son visage.
Silence de mort.
Autour de la table, il s’est créé un no-mans land de deux mètres. Une étrange ambiance règne en micro-climat sur la table. Une ambiance pesante, lourde, très lourde, sombre et poisseuse.
Personne n’ose approcher. Ils tiennent tous à leur vie… les salauds. Aux pieds des zombies atablés, il y a des corps qui n’osent plus gémir… Les futurs cadavres qu’ils ont ramenés en traînant par le col pour enfin savourer cette putain de nuit qui s’est finie.
Silence de mort. Personne n’ose approcher. Et soudain

-Et bien, vous n’avez pas l’air frais, mes choux ! Il faut dormir un peu !

Qui peut être suicidaire à ce point ? A votre avis ? Andréas. What else ?
Sept paires d’yeux assassins se tournent simultanément sur cette momie qui vient de signer son arrêt de mort.
-Quels regards. Il faut manger des carottes, ca rend aimable !

Dimitri se leva. Lentement. Très lentement. Il attrapa une cigarette, la porta à ses lèvres et l’alluma.

Et là, à la lueur rougeoyante de sa sucette à cancer, il sourit.

-Tu sais que j’aime ton sourire, mon petit ! Au fait, mon canard, tu l’a trouvé ?
-Autorisation spéciale… Dit il sur le ton d'un condamnation à mort, ce qui était ici le cas.
-Dimi… Tu ne ferais pas ca à ton grand père... Il avait comprit la menace.
-… *fume* Je veux sa tête sur mon bureau.

Comme si ils n’attendaient que ca, les six autres se jetèrent sur lui.
Elias lui explosa la tête contre le mur, piétina ses parties, utilisa Toshirô pour lui briser le crâne du. Il se souvenait encore des propos de son chef qui, pour le coup, il commençait à aimer.
    « T’es là pour les calmer. »
    « et si ils se calment pas ? »
    « Si ils opposent de la résistance inutile ? Crève les. »


Soudain !! Le vieux tenta de se protéger en mettant ses bras devant son visage.
-TU FAIS DE LA RÉSISTANCE ?
-……
- Twisted Evil

Ainsi, nous retrouvâmes Elias qui lattait proprement la gueule du prof (l’expression était la seule à suffisamment correspondre), un grand sourire sadique déformant son faciès, et répétant « crève » à chaque coup.
Puis, Alice acheva le travail.
La jeune fille le fixa, puis fit un pas en avant. Clac-crac-clac-crac…. « Hmmmm…. » Elle leva la jambe et la reposa brutalement. Le crac suivant fut suivit d’un adorable petit « flotch ». Elle venait officiellement d’achever son blessé.
Elle ôta ensuite son talon du cadavre, l’essuya sur la chemise de celui-ci, et consentit enfin à descendre de ce qui lui restait de dos.

Fin des chroniques.
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyDim 4 Juil - 21:47

J'adore, excellent, pauvre Andreas quand même.

Et au milieu de tout ça, le seul non fatigué qui fait son boulot avec calme et silence...alalal.

Bandes de faibles au cerveaux détraqués par le manque de sommeil!!

La créa sort et va retrouver son lit
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyLun 19 Juil - 23:46

mdr, c'est quoi ce délire ?!
J'A-DO-RE ! J'ai enfin trouvé des fou à ma mesure ! xD
Je sens que je vais me plaire ici moi xD
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Kazutaka Muraki
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyMer 21 Juil - 16:40

J'espère bien que tu vas te plaire ici! Parce que des délires comme ça y'en aura d'autres lol!
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyMer 21 Juil - 19:43

Des fous comme nous, on en cherche, on les appelle du fin fond de notre coeur =D *énorme câlin*

*s'en retourne à sa formation et son retard volontaire*
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Kylian
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyDim 12 Déc - 10:20

Et bien NON nous ne sommes pas morts!! Et voilà la suite de ces chroniques!

~Once Uppon a Time..~

La Bataille des Pistolets

Il était une fois un Eden qui ne voulait pas aller aux réunions du BTSG (Bilan du Travail Semestriel des Gardiens). En effet, ces réunions étaient toujours chiantes comme un jour sans sexe, et on passait des heures à expliquer que si le bureau avait du mal à tourner, c'était simplement parce que ceux qui y travaillaient manquaient de sommeil et de renforts. Or, le directeur du haut de son immense sadisme ne consentait jamais à donner l'un, ou l'autre.
Ces réunion (dites "pédagogiques" sur les convocations du groupe très fermé des privilégiés chargé de la sécurité des élèves, pour que l'administration passe l'éponge sur un trafic d'arme suspecté) servaient - en théorie, parce que en pratique, on est encore loin - à remonter le moral des troupes avant les vacances de décembre, un bon moyen pour le directeur de passer Noël à peu près tranquille. Enfin du moins d'essayer. Mais en fait, il s'en fichait, lui. En effet, toutes ces petites insurrections lui apportaient sa délicieuse dose de violence et de sang dont il avait besoin pour conserver ce teint de rose et ce sourire de malade. Dommage mes très chers, ce n'est pas de lui que viendra le divin secours.
Sauf que notre directeur chéri, bien plus intéressé par son propre bien être que par celui de ses élève, s'était vite rendu compte que cela lui rajoutait du travail, et donc il n'y allait que rarement, voire plus du tout! Il délégua la direction de la réunion à un responsable (Dimitri?). Non content d'ajouter au ressentiment général, ca lui permettait de se foutre ostensiblement du sort de ceux qui n'avaient plus de cafés ou de petits fours au bout de six heures de débats stérilement inutiles.

Cependant ! Un jour, un scientifique, qui en avait marre d'acheter des armes coûteuses et de chercher de nouveaux matériaux, pour fabriquer des jouets qui permettraient de garder en vie les humains du coin avec des moyens de miséreux (mais où passait donc le budget de la recherche!!? .... dans des bouteilles de chateau pétrus 47, ca va de soi. En quelques pots de vins de ci de là.) dit au directeur, dans une courte lettre, qu'il prenait des vacances, et qu'en attendant les gardiens se débrouilleraient avec moyens du bord.
Plus de balles, le métal est trop cher, le scientifique avait écrit qu'il y avait tout ce qu'il fallait dans son labo.
Des pistolets à eau.

Eden oublia ce triste épisode, en fait, il n'y fit même pas attention, seulement, le jour de la réunion, à 9h du matin, le cher Dimitri vint le chercher jusque dans les draps de son infirmier.
Après avoir esquivé la tentative de meurtre concernant sa personne du fait qu'il ait été tirer le démon par la queue jusque dans son antre (au sens véridique du terme, Eden a le sommeil très lourd), il lui expliqua en essuyant le sang qui coulait de sa lèvre fendue que les gardiens manquaient d'armes pour neutralisant les récalcitrants. Enfin, ca, c'est la version officielle que nous sortons au scribe présent dans la pièce. La version officieuse, c'était qu'il en avait marre d'entendre des gens crier de douleur alors qu'il tentait de faire sa déclaration d'impôts d'il y a six ans tout en se descendant allègrement et sans aucun remord pour son foie une bouteille de cognac agrémentée d'un bon paquet de clopes. Comprenant que ce souci était parfaitement légitime, Eden du donc s'habiller en vitesse (d'où son magnifique peignoir /veste rose bonbon - qu'est ce qu'il y a donc comme horreurs dans la chambre de son amant, hein? -) et aller chercher ,en vitesse et avec moult grâce et déhanché sous la musique d'alerte à Malibu ca va de soi, les pistolets et les recharges à la sections recherche puis retourner à la salle de réunion.

Les gardiens furent étonnés de le voir débarquer (non, pas à cause des suçons, ca, ils sont habitués) avec Dimitri les bras chargés d'emballages noirs et encombrants. Un vent d'allégresse souffla alors qu'ils se disaient qu'ils auraient ENFIN des moyens sérieux de faire régner l'ordre dans cette académie de fous dégénérés gérée par le pire d'entre tous, j'ai nommé l'autre taré avec des valises sous les yeux et l'air maussade de celui qui a encore la marque de l'oreiller sur la figure, ainsi que d'autres marques provenant d'un corps lui ayant servi de matelas, bien que ce ne soit pas pendant son sommeil qu'elles aient été faites.
Quelle ne fut pas alors leur surprise (sauf à Alice et Elias trop habitués au embrouilles liées à l'apparition d'Eden et qui avaient flairé le coup fourré) en sortant des beaux étuis d'énormes pistolets à eaux à grand volumes roses et oranges fluos!!
Ils se foutaient d'eux, Dimitri aussi! Le cousin du démon est toujours dans le coup lorsqu'une Grande Calamité s'abat sur l'école, c'est aussi certain que de dire que le Yaoi, c'est le bien!

Il y eut alors un grand blanc, tandis qu'Eden rechargeait avec le paisible d'un prédateur s'apprêtant à commettre un génocide parmi les brebis.
Voyant que tout le monde, sauf Dimitri qui fumait à la fenêtre d'un air totalement blasé, le regardait avec circonspection, il de détourna de sa mangifique tâche qui consistait à remplir le réservoir d'un pistolet à eau rose et orange facilement gagnable dans toute fête foraine qui se respecte.

- Il y a un souci?

Alice, que son insomnie chronique et forcée et ses règles avaient rendue téméraire prit la parole pour tous:

- Et bien à moins qu'ils ne soient en carton, je ne vois pas à quoi des pistolets à eau peuvent servir pour mater une armée de vampires en rut...

Eden esquissa un léger sourire, rit d'un air absolument horipilant car supérieur,et lui ébouriffa doucement les cheveux dans un geste paternel.

- Regarde, ma fille. Regarde et apprend.

Et d'un pas tranquille, pistolet à eau sur l'épaule, il sortit calmement. Sa veste négligemment ouverte, son pantalon de cuir le serrant de manière seyante, comme à son habitude. Il se posta face à cette atroce mêlée de bras, jambes, crocs, grondements et sang, et il s'alluma une clope piquée à son cousin. Il fuma tranquillement, jusqu'à ce que finalement on se rende compte de sa présence. Bon, j'avoue, c'était surtout le pistolet à eau qu'on avait remarqué, parce que le directeur, même affabulé d'une veste rose bonbon, il avait été si rarement aperçu autrement que dans un courant d'air pendant qu'on lui courait après qu'on ne savait pas spécialement à quoi il ressemblait, l'animal. Ayant enfin obtenu l'attention générale, et surtout le silence, il abaissa son pistolet aquatiquement chargé, le laissant pendre à son côté.

- Maintenant, vous vous calmez.

Un rire moqueur s'éleva dans l'air.

- Et si on ne veut pas, bouffon?

Sans se laisser démonter par l'insulte, Eden tapa légèrement du pistolet à eau contre sa hanche pour montrer clairement de quoi il comptait parler.

- Si vous ne voulez pas, je vais vous calmer. Dernier avertissement: je suis armé et je n'hésiterais pas à m'en servir.

Derrière Eden, les gardiens, de loin ca va de soi, regardaient son petit manège en se demandant si le Démon n'avait pas pété une durite. Si ca se trouve, Kylian avait poussé un petit peu trop fort et loin, et du coup le cerveau avait subit des dommages par un miracle anatomiquement encore inconnu. Avec l'incompréhension régnait la lueur d'espoir folle que ENFIN il allait se faire tailler en pièces, et ils allaient ENFIN être libres!
En face de lui, c'était l'hilarité générale. Finalement, le type qui se présentait comme étant le leader s'approcha dans l'intention manifeste de le faire valser d'une pichenette méprisante.
Froidement, Eden leva son arme, pompa rapidement de l'air pour avoir de la pression (et au geste, on sent le type expérimenté qui s'est exercé à ce genre de mouvem//SBAAAANG//) et tira.
Le touché fit un sourire moqueur. Sourire qui se changea petit à petit en rictus de souffrance atroce tandis que la peau qui avait été mouillée fumait et se racornissait en produisant une odeur affreuse de chair en putréfaction commencant à brûler.

Des deux côtés, il y eut un silence de mort tandis que le blessé hurlait en se griffant la poitrine qui à présent présentait un magnifique trou, au son des "sloff sloff" produit par l'arme d'Eden en cours de rechargement.

- C'est...
Eden acquiesça placidement

- De l'eau bénite, oui devil

Puis, sans s'inquiéter outre mesure, il se mit à tirer dans le tas. Tentant d'esquiver le véritable raz-de-marée bénite qui leur pleuvait dessus, quelq'un s'écria alors

- MES FRÈRES!! BATTEZ VOUS!! SA RÉSERVE EST PRESQUE A SEC!!

Et ce fut le cas trente seconde après. Mais sans se départir de son charme calme, le directeur sortit alors des plis fin de sa veste rose fluo un nouveau pistolet visiblement chargé... Qui faisait la taille d'un bazzoka.

- Petits petits petits, venez donc jouer avec Papa Eden... fight

Aujourd'hui encore, le Mal fut vainqueur.

~ The End ~

Et en bonus exclusif!!!! Une magnifique œuvre tirée par le scribe qui était un peintre caché à ses heures durant la Bataille Des Pistolets! (oui, le nom est resté.)
Spoiler:
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyDim 12 Déc - 14:58

Mouahahahahahahahah! J'aime!
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyLun 13 Déc - 22:04

Moi aussi moi aussi:
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyMer 15 Déc - 18:26

moi aussiii bravo didi !!!
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyMer 15 Déc - 19:48

Mais y'en a pas moi lol
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptySam 21 Mai - 0:25

Chapitre 5 : L'alliance (qui doit rester secrète)



C'est un soir...que tout commença. Il faisait noir, dans la nuit noire...il y avait un Kylian, qui avait un peu trop bu et qui avait donc raté -non pas sa manucure- mais sa transformation ! De jolie chauve-souris -à pois blancs- il était devenu baveux crapaud.
-KOOOAAAA nous demande-t-il inconscient de son échec

Reprenons donc...même si on a pas commencé !
Il était une fois dans la nuit noire, au bord d'une piscine, un homme en discution avec un crapaud. Le chercheur, un peu drogué sur les bords, trempa sa cuillère dans le pot de nutella et leva sa cuillère devant lui. Il la regarda dans l'acier de ses yeux magnifique dégoulinant de pâte de tartiner.
Et c'est cet instant entre tous que choisi la fraise tagada pour sortir de son paquet -toute seule comme une grande, en rampant sur le sol avec une voix aiguë « viiivre, je veux viiiivre »- et rejoindre son chirurgien préféré.
« Muraki-saaaaaaan ♥ »
Le chercheur se contenta de quitter sa cuillère des yeux pour regarder Akagi de bas en haut ! Il brandit sa cuillère et lui dit, d'une voix très fière :
« Murakiiii...téléphone maison ! »
« ...Oui...c'est une cuillère... »
« Maisoooooon »
« Vous avez bu ? »
« Nutellaaaaaaaaaaaaaa »
« Voilà qui change tout »
Le fraise remua son joli postérieur et glissant ses doigts dans sa magnifique chevelure fraisée, il les repoussa en arrière -digne d'un l'oréal au passage- avant de se poser sur le sol
-COIIIN -
« Oups...pardon, je l'avais oublié... »
-VRRRRR -
Akagi retira donc le canard de son nid. Miracle ! On venait de retrouver le canard d'Andréas ! Elle est pas belle la vie ?!

Offrant une cuillère à son ami de bord de piscine -parce que oui, ils étaient au bord de la piscine -oui on l'a dit plus haut, suivez un peu, faut toujours vous répéter!- pour qu'il puisse lui aussi sombrer dans l'abyssale néant du nutella parasite -oui le nutella est parasite qui prend possession du dos d'un certain cousin...vous comprendrez plus tard !!!:twisted
Il partir, un jour sans retour lorsque soudain Eden -qui normalement ne devait pas apparaître ici, mais comme il s'est trompé de plateau ben il en a profité!- débarque au bord de l'eau et vola sans autre forme de procès le Pot magnifique !
S'en suivit alors une course poursuite frénétique à travers la propriété ! Le jardin, les cailloux, les pots de fleurs, les brins d'herbe ! Tout fut retourné ! Les placards furent fouillés -même LE placard de la CB- sans succès ! Ils passèrent près, très près de jeter l'éponge et d'aller copuler dans le jaccuzzi, lorsque l'idée leur vint d'aller voir si par hasard il ne s'était pas cacher dans la maison de vacance qu'Eden a fait construire dans les arbres ! Mais non ils ne les trouvèrent pas !
(Et pourtant, les fourbes, c'est là qu'ils étaient cachés ! Nous avons même volé un enregistrements audio :
« Alors tu vois //slurp// mon cher //slurp// le principe de base //slurp// pour survivre //slurp// c'est de rester silencieux //slurp// et d'avoir des vivres //slurp// »
« Oui je vois » dis le blond, alias Nathan tandis qu'Eden se léchait déjà les doigts, pour savourer le goût de sa victoire ! Le pot de nutella resterait à lui...encore un peu!)

« EDEN ! ON TIENS HENRI !!! SORS DE TON TROU VERMIIIINE !!! »
Les recherches se poursuivirent sans espoirs de retrouver de survivants...mais comme l'espoir fait vivre il ne lâchèrent pas. Et c'est ainsi que tout commença.
Ne pouvant pas mettre la main sur le Diable, ils partirent chercher le Suppôt -non pas le suppositoire- de Satan ! Di-mi-tri ♥.
Le début de l'alliance nouvelle et sans doute éternelle, va enfin être assouvie !

« Qu'est-ce que vous me voulez ? » demande le blond, encore une fois de mauvaise humeur !

« Veangeannnnnce » répondent en chœur les deux drogué au chocolat

« Allez vous faire mettre »

« Justement...on voulait savoir si... »
« Tu voulais pas nous mettre... »

« Mais dégagez moi d'ici bande de tarés...non...restez là-bas..n'approchez pas...je suis armé...j'ai...j'ai...oublié mon briquet ! PUTAIIIIIN »

« Y'a pas de putain on baise à l’œil »

Malgré les exhortations de Dimitri, ses prières et ses repousse max achetés au centre pokemon du coin, il ne parvint pas à échapper à la divine sentence. Il se retrouva a moitié à poil, obligé de danser la danse de la victoire avec Muraki avant de se retrouver, telle une crêpe pas encore roulé, étalé sur le sol !
Akagi tenta de lui mordre la cuisse, tandis que le chercheur visait le coup ! Un vrai combat de femmes ! Crêpage de chignon et morsure garantie -et pas remboursées- pour le plus grand bonheur de nos lecteurs.

« Me touchez pas ! »

« Siiiiii »
« Manger !!!! »
« Chocolat »
« Suuucre ♥ »

Dimitri se débattait violemment, faisant rouler Akagi sur le sol -une réception parfaite, digne des plus grands cascadeurs, genre Bruce Willis et Vin Diesel!- tandis que Muraki se positionnait à cheval sur lui lui bloquant les mains. Mais Dimitri ayant l'habitude -on se demande comment et pourquoi...- parvint à inverser les rôles !

« Oh oui...viens en moi... »

Mais non Dimitri tenta de rouler, tandis qu'Akagi revenait à l'assaut toutes griffes dehors. Tentatives de morsures de griffures, de viol...mais non...Dimitri lance son attaque la plus sournoise ! Il se met à trembler, il hyperventile -doucement mais surement- et tout à coup : il pleure !
Oui, oui vous avez bien lu ! Dimitri PLEURE !

Ne sachant plus trop comment réagir les deux monstres tentent de l'approcher. Mais Dimitri recule avant de se mettre a rire !
Un doigt de pied lancé, un doigt de pied vengeur qui tente d'atteindre la chasteté de ce cher vampire.

« Hey mais ça va pas ! Je me fait violer par un pied ! »

Akagi écarta les jambe, dévoilant son magnifique tatouage « MAPED »...parce que oui en ouvrant et fermant les jambe, Akagi pratique l'attaque du ciseau. C'est vicieux, c'est malin...c'est MAPED !

Les hostilités reprennent mais à nouveau des larmes. Akagi et Muraki se regardent...et :

« Et si on allait finir le nutella ? »
« Oui en voilà une bonne idée ! »

Et les deux rampèrent comme des larves jusqu'à leur pots de nutella. Dimitri lui éclatait de rire...un rire de fou, un rire nerveux, un rire de violé violent!

//SLURP//
« NUTELLAAAAA quand tu me prends dans tes bras je vois la vie en rooooouuuggeeeuuuhhh »
« ROUGE ! ♥ »

Le nutella peut aujourd'hui encore, nous raconter cette histoire étrange et pour vraie ! Incroyable mais vrai ! Nous connaissons tous le célèbre et genialissime jeu  « Devil May Cry » et maintenant nous avons « Dimitri peut pleurer ».

« Kylian je vais te rejoiiiindre »
« KOOOOAAAAAA »
-Vrrrrrr-

« Oh ça va toi...sois pas jaloux... »
-Vrrr Vrrrrrrrr -

« Ne proteste pas....hey ! Reviens ici...ne me quitteuh paaaas »
« Mais moi je suis là Akagi-san »

Et la copulation...heu non l’opération pu commencer. Dimitri en état de choc, lui sort la table a repasser, et repasse les chemise de Al, joliment vêtu d'un tablier rose à froufrous -surtout à froufrou!

FIN (pour le moment)
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Kylian
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptySam 21 Mai - 6:23

Tssssssssssssssssssssss!! Bandes d'enfoirés! (Notons que tous les évènements racontés se sont vraiment passés IRL... Sauf le tabler)
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Kazutaka Muraki
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyLun 23 Mai - 13:37

Merci merci, moi aussi je t'aime fort
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Kylian
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyMer 25 Mai - 12:44

Owiiiiiiiiiiiiiii EPOUSE MOAAAA
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. EmptyMer 25 Mai - 20:50

C'est deja fait tu sais...X fois même :p
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MessageSujet: Re: Chronique des oubliées, Section des gardiens.   Chronique des oubliées, Section des gardiens. Empty

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