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 Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]

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MessageSujet: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyDim 14 Oct - 20:45


Le soleil était tombé depuis plusieurs heures. Il avait quitter l'académie au crépuscule. Le plus discrètement possible. Il était parti avec son simple sac de voyage, il n'avait pas besoin de plus, l'avion l'avait déposer à Londres, et il marchait dans les rues noires et désertes avec un sourire, l'air avait un lourd parfum de libération. Il savait que la personne qu'il cherchait était là. Il en était certain. Il se dirigeait d'un pas sur vers une vieille maison, la porte défoncée, les murs sales, une maison abandonnée et jamais rachetée. Elle avait encore un propriétaire. Disparu depuis longtemps, on ne pouvait pas la lui rachetée sans signature.

Mais qu'a cela ne tienne, il était certain qu'il se trouvait là, il posa son sac a l'entrée, il savait que de toute manière il n'en ressortirais pas, du moins pas comme il était entrer. Il passa la porte sans aucune once d'hésitation, l'entrée poussiéreuse était tachée de pas récents. Qui avaient soigneusement évité une salle dans laquelle il s'arrêta. Une petite salle, les mur marqués de griffure, de tache de sang. Une prison qu'il n'avait jamais oublié. Bientôt ce serait derrière lui.

Il quitta la salle et alla au salon, en silence, il était là, cherchant des papiers parmi les décombres qu'il n'avait pas déchirer en partant. Jamais le blond n'aurait penser revenir ici, et pourtant, tout avait commencer là, tout finirais ici.

Vous voilà enfin, fou. Ou peut être devrais-je vous appelez père?

Oh, les expériences te manquaient petit sujet?

Vous n'en ferez plus jamais.


Le reste des paroles n'est qu'une suite de fausse civilité, bien sur le père ne savait pas ce qu'il était advenu de son sujet, il le compris lorsque les yeux rougis et les crocs de celui déchirèrent plusieurs veines. Ce n'était pas tuer, mais annihilé. Ni plus ni moins, c'est après l'acte, la pression retombée qu'il sentit enfin cette libération, il n'avait plus peur d'être retrouvé et enfermé de nouveau. Il était a genoux, dans la marre de sang qu'il avait créer, elle ne lui donnait pas faim.

Et de nombreuses larmes longtemps refoulées s'y mélangeait, son cœur se vidant de tout ce qu'il y avait, il le savait, il savait aussi que lorsqu'il pourrait reprendre le contrôle de ses membres il pourrait faire ce qu'il avait prévu. Et en ce moment, il eu une pensée, idiote c'est certain, mais présente pour le directeur qui l'avait recueilli et qui avait promis presque de l'empêcher de faire une bêtise, il eu un sourire, au final, il avait gagner, Eden ne pouvait savoir ou il était.
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Kylian
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyMer 17 Oct - 5:48

Eden savait bien qu’il y aurait des ennuis venant de cet anglais. Depuis qu’il avait croisé son regard, il avait su. Il le connaissait bien, ce regard. Il l’avait croisé dans un miroir pendant plusieurs décennies. Puis Kylian était arrivé. Et énormément de choses avaient changé. Mais là n’était plus la question puisqu’il était question d’un vampire obstiné et passablement idiot. Et visiblement persuadé qu’il avait raison, le pire des vices, et le plus dur à soigner malheureusement. Il l’avait donc fait placer sous surveillance. Eden était un connard doublé d’un égoïste, mais il ne tolérait pas de laisser sans surveillance les sujets qui risquaient de vriller et qui étaient placés sous sa protection. Et il se trouvait que c’était précisément le cas de ce jeune homme qu’il avait sous les yeux. Infiltrer son compte et faire surveiller ses achats n’avait pas été bien difficile. Le faire surveiller non plus, il avait toute une agence qu’il faisait travailler précisément pour lui et ses besoins ponctuels et impérieux. Ainsi il avait bien vite rapidement apprit qu’il se rendait en Angleterre. Comme il avait fait fouiller dans son passé et glané quelques savoirs de ci et de là, il avait pu comprendre que son créateur, ou quelque chose y ressemblant, il ne savait pas si c’était un vampire ou un humain particulier, résidait sur le sol de la perfide Albion. Et vu l’amour qu’il portait à sa nature et ce qu’il était devenu, on peut comprendre rapidement qu’il ne lui portait pas toute l’affection d’un enfant aimant envers son père bienveillant.
Il lui fallut quelques instants de réflexion avant de finir par décider de le suivre. Il ne pouvait s’occuper de tous les résidents d’Eden en détresse, ils l’étaient tous dans un sens. Mais lorsqu’il y avait des gens à disposition et avec moyen de s’occuper d’eux, il s’en occupait. On a toujours reproché les méthodes d’Eden, comme quoi il les achevait et qu’il était sadique et malsain, mais en attendant il les soignait. Ainsi il l’avait suivi. L’avion qu’il avait pris, il en avait pris un sur un horaire équivalent. Un agent l’avait suivis pour que le directeur n’aie plus qu’une adresse à donner au chauffeur de taxi. Et maintenant, clope au bec et écharpe autour du cou parce qu’il fait frais, Eden avançait dans la maison. Ca sentait le sang, la poussière et la mort qui déjà commençait à s’installer.

Il n’accorda un regard que très indifférent à ce cadavre. Ce n’était donc pas son créateur. Sans doute quelqu’un d’autre, un père adoptif, un amant… Non, impossible. Bah, dans le fond on s’en fiche. Visiblement il avait le besoin de le tuer, et maintenant qu’il avait fait ce qu’il devait, il y avait un vide à combler. Encore une fois, c’était une chose qu’Eden comprenait, ressentait. Kevin, c’était le petit merdeux mélodramatique qu’il avait été autrefois. Ce qui faisait qu’il avait envie de se donner des gifles en pensant à ce qu’il était autrefois. Avec raison d’ailleurs soit dit en passant.

- Ca y est tu l’as tué. Et maintenant, que comptes tu faire?

Avec nonchalance, il s’assit dans un fauteuil. Capitonné, renforcé, placé près du feu, sans doute étais-ce le plus confortable de la maisonnée, ou tout du moins le préféré du cadavre qui gisait à ses pieds. L’odeur qui en émana comme les spores d’un champignon lui apprit que c’était là celle d’un humain, probablement vieux, certainement malade.

- Te tuer ? Ne serais-ce pas là lui accorder sa victoire ? La preuve que même mort, sa marque reste sur toi et t’empêchera à jamais d’être ce que tu aurais du ?

Quatre ans sous l’expérimentation de Muraki, il a eu le temps de savoir tout ce qu’on peut penser à l’encontre d’un tortionnaire.
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyMer 17 Oct - 12:04

Il sentait toutes les forces qu'il avait miraculeusement gardé avec son jeun forcé échappées peu à peu dans les larmes qu'il ne pouvait s'empêcher de voir tomber, qu'il ne pouvait empêcher de faire couler. Il se sentait tel un tableau de maitre qui perd sa couleur a mesure que les secondes passe, une peinture a l'huile qui coule sans discontinuer, jusqu'à devenir une page vierge jaunie, inutile, que l'on brulerait sans aucun état d'âme. De plus, il se sentait mal, il avait mal, il ne pensait pas que ça ferait si mal d'être libre de tout, plus rien ne le retenait, ni famille, ni amant, ni véritable ami, il avait bien fait en sorte de ne pas laisser son coeur s'accrocher à quelqu'un, tel des gravitons dans sa vie il les voyaient un par un disparaitre dans le rideau d'eau qui couvrait ses yeux bleus. Des yeux qui perdaient peu un peu leur éclat. Ses mains tremblaient, il le sentait largement, il sentait aussi a quel point il faisait froid, pourquoi tout à coup? Alors qu'il ne le sentait plus depuis qu'il était ce monstre, maintenant il savais, Londres était une mère indigne, de vent et de pluie. Il aimait la pluie c'est vrai. Mais ce n'était pas une raison, pour une fois il ne pleuvait pas sur la géante anglaise.

Il regarda par la fenêtre sans aucune pensée autre que le fait qu'il aurait bien aimé qu'il pleuve en cette journée, cette dernière journée. Il retourna a la contemplation de ce corps sanguinolent, celui qui autrefois avait été le pire des monstre, presque aussi puissant qu'un Muraki dans son esprit. Il le voyait aujourd'hui, mort, sans aucun souffle de vie, ça lui faisait plaisir, il continuait a fixer, il ne sentait plus rien, lui qui aurait largement pu sentir l'arrivée du directeur, celui qui n'aurait jamais dû être ici, il aurait dû le sentir, comme d'ordinaire, il sentait le danger depuis le temps, pas maintenant, tout était brisé, la cathédrale même de son esprit venait de tomber tel un château de carte, laissant a peine un chaton nu a la naissance. Il n'avait plus de faux sourire, plus de regard faussement vivant, pour une fois il se montrait tel qu'il se sentait, purement vide, brisé, déjà mort. Et rien n'y changerais n'est ce pas? Personne n'était là pour ça. Ca le confortait, il ne voulait pas qu'on s'attache, pour pouvoir terminer ce qu'il avait commencer, pour fuir, lâchement, il le savait, il l'assumait.

Ca y est tu l’as tué. Et maintenant, que comptes tu faire?

Il n'avait même pas sursauter, malgré la surprise, simplement trop épuisé pour ça, il regarda les pieds aller jusqu'au fauteuil; ce maudit fauteuil qu'il aurait bien déchiré, il regardait les pied, l'odeur de la cigarette lui parvenait enfin, et ça l'emmerdait carrément, pourquoi fallait-il qu'il soit là? Pourquoi l'empêchait-il de se couper de tout pour en finir? Pourquoi il prenait soin de lui, il n'était ni un ami, ni son fils, ni même quoi que ce soit de proche. Il ne le voulait pas pour rien au monde d'ailleurs, il n'en avait besoin, il ne voulait plus de parents, plus jamais. Jamais plus il ne se ferait avoir. Il doutait même d'avoir qui que ce soit qui ai pu à un moment vouloir de lui. Il se demandait même pourquoi sa génitrice n'avait pas avorter, ou quelque chose du genre, il aurait préféré, elle aurait dû. Mais ne l'avait pas fait, alors lui le ferait, directeur ou non, qu'est ce que ça pouvait lui faire? Il avait payer la pension pour le temps ou il était rester, même jusqu'à la fin du mois, sans renouveler, ce qui avait emmerder les secrétaires mais il s'en foutait, il ne reviendrait pas. Son compte était vide désormais, tout ce qu'il avait il l'avait laisser, dans cette maison, un inconnu viendrait bien fouillé un jour et trouverait tout ça. Une belle somme.

Te tuer ? Ne serais-ce pas là lui accorder sa victoire ? La preuve que même mort, sa marque reste sur toi et t’empêchera à jamais d’être ce que tu aurais du ?

Il tiqua un peu, et releva la tête, des yeux dors et déjà sans vie, sans plus aucune conviction que celle de finir se posa sur le directeur, les éclats de sang au visage, rien qui ne lui donnait faim, ou du moins il ne l'écoutait pas, il n'écoutait plus rien, presque plus rien.

Ce n'est pas lui qui a créer le monstre que je suis... pas vraiment. Ca n'a rien a voir avec lui... Il peut dormir maintenant, ses crimes sont punis.. pas les miens.. pas encore.

Sa voix était déjà lointaine, blanche, partie, sans aucun sentiments, comme un déroulement logique. Il regarda autour de lui dans la piece, et tendit la main vers un pieu en bois, il savait que c'était efficace, il en était certains. Il alla en finir désormais, et il fixait le directeur encore un moment.. Il ne voulait pas vraiment qu'on le voit, le morceau de bois glissait dans sa main pleine de sang.

Vous devriez partir...
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Kylian
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyLun 22 Oct - 13:19

Eden continuait d’observer ce visage vide et désespéré. Et plus ca allait plus sa main droite lde démangeait de venir s’écraser avec moult bruit et puissance dans le visage chérubinesque de ce petit ange. Il n’est pas possible d’avoir l’air aussi niais, et encore moins aussi vide. Il détestait ca, et Eden était si délicat que la meilleure option qui lui vienne à l’esprit était la manière forte. Choyer et bichonner les gens qui n’en ont plus rien à foutre ne l’intéresse que moyennement. Il préfère les manières rapides et efficaces. Quand on manque de temps il faut savoir casser des œufs. Et il faut bien avouer que ca satisfait son sadisme. Mais cette mine de poupée cassée lui annonçait bel et bien la marche à suivre : il allait falloir aller à la pêche (et pas aux moules) et le tirer de son marasme dépressif. Que ca à foutre.

- Ca, c’est ce que tu dis. Mais il faut bien que sa marque sois restée sur toi, sinon tu ne serais pas venu jusqu’en Angleterre pour le tuer alors que tu es à 12 heures de vol.

Il ne fallait surtout pas aller dans son sens. Il fallait aller plus loin, trouver plus, toujours plus, le relancer, et surtout forcer son cerveau à travailler. Plus il réfléchirait, moins il penserait au fait de mourir et se laisser mourir dans son coin. Parce que non, Eden était un connard, et au nom de ce statut de connard il comptait bien le garder en vie et vivre cette chienne de vie jusqu’à ce que la moindre once de vie aie décidé de quitter ses poumons de demi macchabée volontairement.
Et puis ce pieu. Il le fixait. Il le fixait même longtemps. Il suffisait qu’il l’approche de sa poitrine et Eden tirerait sur sa main histoire de la disloquer et rendre l’action impossible. Il ne le faisait pas de suite, il faut savoir laisser sa chance aux autres, mais il ne se gênerait pas à le faire pour autant. Surtout que le blond repousserait ; Il mettrait du temps et il souffrirait énormément, mais il guérira. Autant dire que le remord était absolument absent de sa pensée au moment de presser la gâchette. Sa suggestion lui arracha un beau rire.

- Et te laisser paisiblement t’envoyer en l’air sans rien faire ? C’est mal me connaître mon chou. Je ne suis pas un petit bisounours qui te laissera faire tes choix sous réserve de ta liberté. Tu as décidé de jouer au con, j’ai choisit de te flanquer sur mes genoux et te coller une fessée jusqu’à ce que la merde de ton cerveau sorte.

Eden était un russe en plu d’avoir fini son enfance dans la mafia italienne. La crudité du langage était une marque de fabrique. Les insultes qui fleurissent également lorsqu’il est gêné et en proie à une émotion forte également. Mais ca, c’est une autre histoire.

- Maintenant tu peux choisir de rester là à faire le cocker malheureux pour le mur en face de toi, ou au contraire tu vas accélérer les choses et aligner les trois neurones qui n’ont pas encore été noyés par ta mièvrerie suicidaire.

L’amour brille sous les étoiles.
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyMar 6 Nov - 20:33

Ca, c’est ce que tu dis. Mais il faut bien que sa marque sois restée sur toi, sinon tu ne serais pas venu jusqu’en Angleterre pour le tuer alors que tu es à 12 heures de vol.

Ca fait longtemps que je le traque... très longtemps...Il devait payer. Ne voudriez vous pas tuer la personne qui a passer des années à vous prendre pour un morceau de viande pour ses expériences?

Ce n'était plus vraiment du vide dans les yeux qui fixait le directeur à ce moment là. Mais une douleur, une énorme douleur, celle que connaissent les cobayes qui côtoient la mort de beaucoup trop près, beaucoup trop intimement durant bien trop longtemps. Mais aussi cet abandon, celui qui fait si peur, si mal. Celui que l'on ressens lorsque l'on a jamais eu d'autres parents qu'un être infecte, et surtout, lorsque l'on est encore trop jeune et colérique pour pardonner au monde, qu'on se demande encore pourquoi on a pas voulu de vous.

Je pense que si tel était le cas vous voudriez tuer le fautif vous aussi, alors ne venez pas me faire une foutue morale sur mon geste, je sais ce que je devais faire et ce que je dois faire maintenant.

Et sur cette dernière pointe de colère insidieuse, enfouie depuis des années, traitre et sournoise tel le cobra qui vous empoisonne de l’intérieur. Il repris bien vite le contrôle et soupira, resserrant sa prise sur le pieu de bois, et se recroquevillant un peu encore, il savait bien que le directeur ne le laisserais pas faire, il rassemblait toute ses forces vampirique pour en appeler a la sainte super vitesse et arriver a le faire avant d'être stopper. Il n'en démorderait pas, il devait disparaitre, de toute manière, il n'avait plus rien à faire, plus personne qui voulait de lui, depuis tout petit on le rejetait, ou le prenait pour un simple objet, l'amour? Il ne savait même pas vraiment ce que c'était.

Et te laisser paisiblement t’envoyer en l’air sans rien faire ? C’est mal me connaître mon chou. Je ne suis pas un petit bisounours qui te laissera faire tes choix sous réserve de ta liberté. Tu as décidé de jouer au con, j’ai choisit de te flanquer sur mes genoux et te coller une fessée jusqu’à ce que la merde de ton cerveau sorte.


Parce que je vous ait demander quelque chose peut être? Jusqu’à preuve du contraire, vous n'êtes pas de ma famille, ni de mes amis, encore moins de mes proches. Alors foutez moi la paix et retourner avec votre cher infirmier. Je ne vous ai pas demander d'aide, ni d'amour ou de protection, je n'ai pas besoin d'être un boulet pour quelqu'un en plus d'être un déchet abandonner (tu la sens l'amertume là Gaby?).

Maintenant tu peux choisir de rester là à faire le cocker malheureux pour le mur en face de toi, ou au contraire tu vas accélérer les choses et aligner les trois neurones qui n’ont pas encore été noyés par ta mièvrerie suicidaire.

Ils sont parfaitement connecter, et je sais reconnaitre mes défaites. Ce n'est pas une mièvrerie suicidaire, c'est parfaite réfléchi et calculé, j'ai fait ce que je devais, et maintenant je vais faire plaisir a mes parents biologique et faire ce qu'ils n'ont pas eu le courage de faire.


Il avait rassemblé toute son énergie, et activa la chose, approchant en moins d'un micron de seconde le pieu du coeur, encore un tout petit micron et il serait transpercer.
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Kylian
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyMar 13 Nov - 10:36

La réponse du jeune homme, loin de lui arracher des cris de pucelle outrée, fit sourire le directeur et lui arracha un sourire rêveur. Il se replongeait dans ses souvenirs, du temps où il n’était encore qu’un cobaye, puis celui où il devint le petit jouet préféré de Muraki, ce Muraki père qui imprima sa marque si profondément en lui que même maintenant sa phobie demeure et s’exprime à l’encontre du fils de ce diable. Les fous, il y est habitué, les scientifiques aussi, idem pour les salauds, mais Muraki, un mélange des trois particulier, il ne peut pas. Il ne peut tout simplement pas.

- Si j’avais pu, je l’aurai tué de mes propres mains moi aussi… Mais il est mort de vieillesse avant…

Après la rêverie arrivait la tristesse. La frustration, la colère, et puis cette solitude, et cette résignation de la vengeance qu’il a fallu étouffer faute de cible contre qui s’exprimer. Maintenant il semblait déterminé, l’Eden. Froidement déterminé à faire ce qu’il devrait.

- Ce n’est pas la mort de cet homme que je blâme. C’est la mort que tu veux te donner ensuite.

Sa tirade l’avait agacé. Ou pas en fait. Juste fait soupirer. Toujours la même chose, toujours les mêmes arguments. Les humains n’apprenaient jamais quoi que ce soit. Kevin était un vampire, mais c’était un mordu, et à force de rejeter sa nouvelle nature, il n’était devenu rien de plus qu’un humain emprisonné dans un corps trop différent de sa condition. Pathétique, sans aucune grâce ni élégance, sans unité ni intégrité. Comme un animal qui se traîne. Ce Kevin en face de lui l’énervait car il se complaisait dans son malheur. Et c’était bien au nom de cet ennui suscité qu’il comptait bien le tirer de son trou où il se cachait à grands coups de pieds au cul. D’ailleurs voyant bouger le pieu il n’avait pas hésité une seul seconde avant de tirer, explosant la main et rendant ainsi l’usage du pieu impossible. Par mesure de précaution, marchant vers lui, il explosa la deuxième main au vol, et, le maintenant au sol du pied, il arracha le pieu de sa poitrine. Pathétique. Le manque de sang l’empêchait de se débattre, aucune force, une vitesse limitée. Sans utilité. Le visage dur, il saisit le blond par la gorge, le plaqua au mur, assis, et il planta le pieu dans son épaule droite. Au moins il allait rester en place. Vu l’état de ses deux mains, il n’y avait aucune chance qu’il se dégage. Ceci étant fait, il tira de sa poche une boite de blood tablets et la lui vida dans la bouche.

- Je te conseille de les croquer et les avaler, ce n’est pas te faire un trou dans la gorge pour les y enfoncer qui me dérangera.

Vu qu’il était question de nourrir un vampire, il pouvait bien lui faire tous les trous qu’il voulait, ils finiraient bien par se refermer. Son travail premier effectué, il essuya sa main tâchée de sang sur le t-shirt de l’anglais, après tout vu les trous et les tâches il n’était plus à ça près. Les mains plus ou moins propres, il n’eût plus qu’à tirer le fauteuil en face du vampire papillon cloué à son mur, s’y assit confortablement, croisa les jambes, les mains et posa son menton dessus.

- Bien, vu que tu sembles prêt à rester ici un petit moment, on va en profiter pour parler, tu ne penses pas ?

Oui, Eden est bien connu pour ses traitements chocs. Ca marche, certes, mais c’est aussi douloureux pendant le soin. C’est sa manière de s’occuper des autres, et puis bon, quand on y réfléchit…Si le médicament est dégueulasse, ça dissuade de retomber malade.
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyDim 18 Nov - 22:24

Si j’avais pu, je l’aurai tué de mes propres mains moi aussi… Mais il est mort de vieillesse avant…

Il releva la tête à ce moment, pour l'observe simplement, il avait cru voir un éclat bien connu dans ces yeux, bien vite remplacer par autre chose d'inconnu, peut être une détermination neuve qu'il n'avait pas trouver, de toute manière il n'avais pas grand chose...

Ce n’est pas la mort de cet homme que je blâme. C’est la mort que tu veux te donner ensuite.

Et ça le fit sourire, c'était bête c'est sur, mais ça le fit sourire quand même. Après tout, il ne demandais pas a ce que le directeur le comprenne, personne ne comprendrait ça, il en doutait. Et pourtant ce qui le fit tiquer c'est la fulgurante douleur a son poignet, qui lui coupa le souffle qu'il n'avait d'ailleurs plus. Il senti bien les os de la main se broyer joyeusement et retint la douleur de s'exprimer. Il ne se débâti même pas sous l’élévation de l'homme en face de lui. Il se retrouva assis donc, tel un gosse et gémis de douleur avec le pieu, c'est dingue ces points qui dansent devant les yeux... Vraiment. C'est un peu ce qu'il voulait en réalité. Il exhala un soupir et se laissa aller, lutter? Même pas.. et pourtant, une boite de comprimés lui tombèrent dans la gorge. Il cligna des yeux.

Je te conseille de les croquer et les avaler, ce n’est pas te faire un trou dans la gorge pour les y enfoncer qui me dérangera.

Il eu un moment ou voyant le sang qui s'écoulait déjà il se posa la question de savoir si ce trou en plus l’achèverait. Ca devait se voir surement, et la réponse n'étant pas clair il en croqua une partie, et fit sortir le surplus en toussant, le gout étant horrible, il n'avait jamais aimer ça, et la grimace devait être assez visible pour le faire comprendre. Le sang, décidément ce n'était pas pour lui.. le seul qui ne le faisait pas vomir était celui d'animaux.. plus particulièrement de loup garou, c'est vrai, c'est bête mais il aimait bien lui... c'était comme de la viande saignante mais encore vivante.

Bien, vu que tu sembles prêt à rester ici un petit moment, on va en profiter pour parler, tu ne penses pas ?

Il lui jeta un magnifique regard noir mais une fois avaler les cachets et les yeux d'un rouge bordeaux, presque couleur de sang coagulé il pris la parole

Parler de quoi? Il n'y a rien a dire.. et plus rien à faire dans cette existence pour moi...J'ai éliminer une menace.. et la seconde doit partir. Tu n'as aucune idée de ce qu'il à créer en moi. Tu n'a aucune idée du mal que je peux faire... Alors laisse moi mourir.
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Kylian
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyMar 20 Nov - 10:56

Il y avait du progrès dans les affaires. Déjà il avait avalé ces putains de comprimés. Un seul suffisait à rassasier un vampire pour deux jours, sachant qu’il en avait gobé une boîte… Il y aurait largement de quoi tenir. Déjà les plaies se refermaient. Certes, ca n’offrait pas le même coup de boost qu’une bonne vraie lampée de sang, mais bon, il faut bien faire avec. Pour le moment il l’avait nourri, les plaies se refermaient. Maintenant c’était sa connerie qu’il fallait guérir, et ca, c’était nettement moins simple à mettre en place. Les gens quand ils sont persuadés d’avoir raison sont extrêmement ennuyeux à convaincre qu’ils ont tort. Et souvent on n’y arrive pas, mais celui-là était jeune dans sa tête et dépressif. Autant dire qu’il était potentiellement malléable. Déjà il éveillait un semblant de colère en lui. On commence par la colère, puis la fierté, et alors là la guerre est gagnée. La question est simplement de trouver comment le prendre. Et pour ca, la manipulation, ca a toujours été son domaine. Juste besoin de la mise en place, mais bon, avec un vampire momentanément manchot et épinglé au mur, ca devrait être gérable. Il croisa donc les jambes, continuant de le regarder, et il réfléchissait. Et il se retenait de lui mettre une balle dans la tête. Quoi que… Recalibration cognitive qu’ils appellent. En visant l’aire des souvenirs, avec un peu de chances… Non Eden, pas casser.

- Et moi, sais-tu ce que je suis devenu ? Non, tu ne sais pas. Tu ne peux pas savoir. Arrête de penser que tu es unique. Ou bien la pire chose possible. Crois-moi, il y a pire. Il y a toujours pire.

Ses pensées s’étaient immédiatement tournées vers Muraki. Père et fils, dans la lignée aucun des deux ne valait mieux que l’autre. En fait les deux devaient crever, si simplement c’était possible. C’étaient des cafards, aussi chiants à tuer que des cafards. Une explosion atomique ne suffirait pas à les effacer de cette triste planète, malheureusement.

- Tu es un vampire, et alors ? Tu n’es pas seul dans ta tête ? Et alors ? On est tous pareil à l’institut. Même les humains présents s’approchent plus du monstre que de l’homme.

Il n’y avait nul dégoût dans la voix quand il en parlait. Pour sa part, il trouvait l’humanité bien plus monstrueuse que ce que les hommes appelaient monstres. Muraki était un homme. Ce n’étaient pas les vampires qui avaient créé les bombes atomiques, l’énergie nucléaire, les guerres civiles et la torture. Les loups n’étaient pas à l’origine des camps de concentration, ni les exécutions, les massacres et les génocides. C’était leur nature, rien de plus. Un lion tue des biches, est-ce un monstre pour autant ? Ces bonnes âmes pensantes l’agaçaient et lui donnaient envie de leur tirer dessus pour mettre vie à leur contagieuse bêtise.

- Si tu n’aimes pas chasser, alors prend des poches de sang et une paille. Mais tes remords ils sont ridicules.
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptySam 24 Nov - 21:50

Il avait mal, très mal.. et si ses mains avaient encore pu bouger il s'arracherait la peau des bras pour ne pas sentir cette ignoble satisfaction due a ces tablettes tout aussi inhumaine. Il les haïssais, et tout son être souhaitait rejeter au plus au point ce qu'il était, si bien que même ses yeux lançaient un éclat de mort carmine sur son propre corps qu'il s’évertuait à fixer, ainsi que ses abord immédiat. Tout ce qu'il voulait c'était arrêter, pourquoi c'était aussi compliquer de le laisser simplement aller? Pourquoi après 20 longues années oui il n'avait été que seul ou bien considéré comme un jouet on prenait soin de lui, du moins on tentait? C'était des plus étrange, et d'un coté ça l'effrayait... et le forçait de fait a fuir encore plus, cela dit pour voir cette peur il fallait être doué...

Et moi, sais-tu ce que je suis devenu ? Non, tu ne sais pas. Tu ne peux pas savoir. Arrête de penser que tu es unique. Ou bien la pire chose possible. Crois-moi, il y a pire. Il y a toujours pire.

Il aurait pu se mettre en colère, il aurait du peut être, mais la seule chose qu'il fit fut de s'affesser un peu plus, le pieu lui ouvrant largement l'épaule, il n'était plus a ça près de toute manière. Et là tout ce dont il avait envie c'est de craquer, comme jamais il l'avait fait. Il se sentait vide et en même temps tellement surchargé que ses nerfs en était un point de rupture.

Je n'ai pas dit le contraire.. mais je m'en fou.. je ne veux juste pas rester...

Sa voix tremblait, c'était presque une supplication, presque une invitation à le laisser, sans trop savoir pourquoi il n'en pouvais plus. Il ne voulais pas vivre des centaines d'années, surtout pour être seul, et il serait seul il n'en doutait pas, après tout, quand on à pas de chance c'est pour la vie non? Et niveau chance il y avait mieux que lui. Entre des géniteurs qui l'abandonnait a sa naissance, et il se demandait encore ce qu'il avait bien pu faire pour être détesté à ce point. Un père adoptif qui meurt sous ses yeux et le second qui le traître en cobaye suivi d'une évasion et une transformation en vampire. Entre nous, y a quand même mieux.

Tu es un vampire, et alors ? Tu n’es pas seul dans ta tête ? Et alors ? On est tous pareil à l’institut. Même les humains présents s’approchent plus du monstre que de l’homme.

Tu ne comprends pas... tu ne peut pas comprendre... personne ne le peux de toute manière...

Il y avait comme une résignation cette fois, et de la tristesse, tous les sentiments se bousculaient dans sa tête, et ils forçaient tous le passage pour sortir les premier, comme une course à l'expression, juste pour bien montrer que c'était eux les plus fort, alors que la colère, comme la tristesse, la joie comme le soulagement, la lassitude comme la crainte, ils étaient tous là, gonflant de plus en plus ce coeur dors et déjà mort, ce pauvre coeur qui n'avait jamais été ne serait-ce qu'éveillé par le seul sentiment qui se refusait à paraître, l'amour, ce manque cruel d'affection.

Si tu n’aimes pas chasser, alors prend des poches de sang et une paille. Mais tes remords ils sont ridicules.

Ca ne règle pas le problème... des poches de sang... je ne sais même pas d'ou viendra ce que je bois. Dans le doute je devrais accepter que ce soit peut être du sang humain? Même pas en cauchemar. Je sais même pas pourquoi je m'evertue a vous parlez.

La colère prenait le dessus pour ce passage, bien vite remplacée par une baisse de morale énorme, et les larmes qui commencèrent a couler.

Degagez. Aller vous occupez de personnes plus importantes, je sais pas, vous avez pas des gosses? Laissez moi tranquille. Je vais faire ce que les personnes qui visiblement voulaient pas de moi au départ voulaient. Encore mieux, je vais soulager le monde d'un boulet qui de toute évidence ne mérite rien d'autres que de souffrir et être un monstre.

Ca y est, dés le passage sur les parents il avait craquer, et le reste des paroles ne fut peut être pas comprehensible, la voix gonflée, il craquait littéralement, laissant échapper tout ce qu'il pouvait, c'était bien plus que les pleurs de soulagement due a la mort de l'autre fou. Plus encore que la perspective de mourir, ou de vivre, c'était simplement les pleurs d'une vie entière, de colère refoulées, de joie avortées, de douleur cachées, de sourire plastifiés qui s'evertuaient à partir enfin, maintenant qu'une brèche était créer, toutes les larmes se pressaient a la sortie, malgré les essais infructueux de ne pas faire de bruit, de les ravalées.
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Kylian
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyLun 3 Déc - 14:49

Après la colère, les larmes. Bon, y a un progrès. Petit à petit il faisait sortir toutes ces émotions inutiles et même clairement agaçantes. Quelle idée de déprimer. Il faut continuer d’avancer et arrêter de se regarder le nombril. C’est pour les idiots ça. Ceux qui sont intelligents essaient de bosser pour quelque chose de plus grand que soi que sa petite et inutile douleur personnelle et bien futile. Et il y arriverait. Il ferait comme il faisait toujours, il passerait sans doute par la phase où il le détruira psychologiquement avant d’arrive à tirer quelque chose de lui. D’ailleurs il ne l’écoutait que à moitié, il fumait sa clope et regardait le feu brûler. L’odeur de la mort commençait déjà à faire sentir ses relents autour d’eux. Il n’aimait pas ce moment. Ce moment où, malgré les miracles de la vie, elle finit par reculer face à la mort, à la fin d’un état animé. Il y avait quelque chose de magique là-dedans, mais également d’extrêmement surprenant. Comme un triste miracle qui se répète chaque jour, encore et encore.

- Donc pour conclure tu es un monstre. Et bien quoi ? Tu vas te supprimer et laisser tous les autres vrais monstres se promener sur terre ? Laisser d’autre types comme celui que tu viens de buter imposer ce que tu as subit à des innocents ? C’est ça que tu appelles soulager le monde ?

Son ton était cassant, dur, ferme. Si vous cherchez du réconfort, ce n’est pas auprès d’Eden qu’il faut le chercher. Sans doute celui-ci vous aidera, avec du recul peut être que certains se diront même qu’il les a sauvés, mais jamais sur le coup on a pensé à lui comme un soutien, un allié, une aide. Eden se sait détesté par beaucoup de monde. Il sait qu’aux yeux de beaucoup ce n’est qu’un salaud qui ne pense qu’à lui. Et dans un sens, ca l’arrange. Il n’y croit pas aux bons sentiments. Il n’en veut pas des remerciements et des promesses d’amitié. Il n’y croit tout simplement pas. Plus en tout cas. Alors qu’ils se sentent utilisés et qu’ils le détestent, ça les gardera peut être en vie plus tard.

- En fait tu es juste un trouillard hypocrite. Tu as peur de vivre alors tu veux mourir. Tu pourrais utiliser tes capacités pour aider les autres, mais à la place de ca tu préfères rester dans ton coin et ne servir à rien d’autre que gâcher de l’air. Tu es un pathétique égoïste.

Il enchaînait les piques. Justes soit dit en passant, mais il fallait bien le faire réagir, ce petit papillon épinglé à son mur.
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyMar 11 Déc - 15:21

Il observait le directeur, ses émotions sortaient et se stoppaient seul, il n'arrivait pas a penser deux choses cohérente, il le haïssait un peu pour ça. Il sentait un doute s'insinuer dans son coeur, comme s'il faisait une connerie, et ça il ne l'aimais pas, c'est vrai, on a pas idée d’empêcher les cons de tourner en rond, et le pire étant que le temps passant il sentait son corps se reconstituer, et ça l'emmerdait plus qu'un petit peu en vérité, il aurait bien voulu que ça reste ainsi, il aurais peut être fini par mourir. Mais la c'était différent, tout au fond de son âme, bien cacher après les émotions qui s’évertuait a sortir sous les piques de l'homme en face de lui pour lui laisser place, a cette chose qu'il avait cacher, qu'il ne voulais plus voir.

Ce que c'est? Un espoir, un seul, tout petit, tout frêle, presque déjà mort, qu'il avait voulu enfouir loin, pour se concentrer sur ce qu'il croyait juste, ce petit espoir accompagnés de souvenirs, ces petits souvenirs heureux, ils étaient peu nombreux, vraiment peu, il avait voulu les oublier pour ne rien regretter. Mais le doute les poussaient en avant, et ces deux compagnons, aider par ce serpents de non déterminations cherchaient a s'imposés.

Donc pour conclure tu es un monstre. Et bien quoi ? Tu vas te supprimer et laisser tous les autres vrais monstres se promener sur terre ? Laisser d’autre types comme celui que tu viens de buter imposer ce que tu as subit à des innocents ? C’est ça que tu appelles soulager le monde ?

Non.. Il n'avais jamais prétendu vouloir soulager le monde des autres, justes de lui.. Il secouais péniblement la tête, se jambes se refermèrent sur lui, presque coupable, pourquoi ça faisait autant mal, il n'avait plus de coeur, il ne devrait pas ressentir tout ça. Il haïssait cette sensation de vie, ce douloureux souvenir d'humanité, comme lorsqu'il avait senti la fin de la seule personne qu'il considérait comme son père arrivée, cette douleur qui le fit grimacé sur le moment, tout semblait vouloir sortir en même temps et c'était plus que douloureux.

En fait tu es juste un trouillard hypocrite. Tu as peur de vivre alors tu veux mourir. Tu pourrais utiliser tes capacités pour aider les autres, mais à la place de ça tu préfères rester dans ton coin et ne servir à rien d’autre que gâcher de l’air. Tu es un pathétique égoïste.

Non!!

Il avait hurler oui, il n'était pas trouillard, ni hypocrite, il n'avait pas peur de vivre, et même s'il avait hurler sa voix avait été coupée sous l'émotion, toutes le réminiscences qui le firent pleurer, puis sourire, encore pleurer, et rire nerveusement, il devait sembler fou, il en convient, mais il mis une vingtaine de minutes avant de compenser et avoir l'illumination divine, en l’écho d'une phrase lointaine, au senteur d’hôpital, sous le doux sourire d'un père adoptif depuis longtemps parti

Ne te laisse pas aller.. Le bonheur ne viens pas a toi.. c'est toi qui te bat pour le trouver, n'abandonne pas et tu vivra heureux... C'est ce que mon père disait.. Je l'ai oublier..

Il ne parlait a personne en particulier, il commençait enfin a se réveiller, c'est pas trop tôt me direz vous.

Pourquoi je l'ai oublier? Je l'ai trahit... Il faut se battre non? *Cette fois il fixa le directeur* C'est ça que vous voulez non?
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MessageSujet: Re: Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden]   Tel le phoenix... je te forcerais à renaitre [PV Eden] EmptyMar 29 Jan - 16:16

[HJ : c’est court et moche, désolée, j’avais pas d’idées T-T]

Voilà qu’on commençait à en tirer quelque chose. Ce n’était certes pas excessivement glorieux, mais il y avait une réponse, une réaction. Et il comptait s’engouffrer dans la brèche et profiter de ce moment d’hésitation pour le faire tomber de son côté.

- C’est ca. Te battre pour ne pas te laisser écraser par le monde et bien au contraire y trouver ta place.

Il s’était redressé avec une mine satisfaite et était venu retirer les pieux qui le clouaient comme un vulgaire papillon à son mur. Maintenant que la connerie suicidaire avait été balayée, il pouvait tenter de parler et le ramener définitivement à la raison. Non pas qu’il n’aime pas les idiots et qu’il déteste perdre des hommes, mais oui, totalement en fait. Et en général il les ramène avec ses propres méthodes. Absolument pas douces, totalement invasives mais qui malgré tout fonctionnent. Et c’est bel et bien tout ce qu’il demande pour sa part. Il le porta même pour le poser dans un fauteuil pas très loin du sien. Il ne faut pas non plus trop en demander, il avait éloigné de lui tout ce qui pouvait faire office d’arme, même des papiers.

- Et si tu me parlais de cet homme ? Pas celui que tu viens de tuer, mais celui qui avait été là avant. Qui t’as rappelé qu’il fallait se battre…

Il était temps d’attaquer dans le vif du sujet. Et surtout il voulait comprendre. Comment il en était arrivé, comment il en était venu à penser ainsi, et de fait comment lui faire penser autrement et arriver à ses fins. Et oui, c’est ca aussi la technique Edenesque : ne jamais perdre le nord.
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